Sabtu, 08 Maret 2014


Éléments de définition[modifier | modifier le code]

Vue générale de l'interopérabilité[modifier | modifier le code]
Pour définir plus exactement ce qu'est et n'est pas l'interopérabilité, on peut commencer par la distinguer de la compatibilité. Cette dernière relation est binaire et concerne un ensemble fini de systèmes. A et B sont compatibles, ou pas, si leurs constructions respectives leur permettent, ou pas, de communiquer et travailler ensemble.
A et B seront dit interopérables si, grâce à une ou plusieurs norme(s) externe(s) qu'ils respectent, ils en viennent entre autres à pouvoir être compatibles. L'interopérabilité est générale et ne concerne pas a priori des éléments ou systèmes particuliers. Elle existe au travers de normes et formats respectés par tout élément ou système qui souhaite intégrer un plexus interopérable — le réseau des éléments qui communiquent entre eux de façon fluide et normée. On voit que l'interopérabilité ne doit rien au hasard, et résulte d'un accord explicite entre les différents constructeurs d'éléments.
Interopérabilité et uniformité sont souvent mises en relation. Une critique courante est de dire que la course à l'interopérabilité entraîne avec elle un appauvrissement du développement des techniques, en freinant les innovations — qui sont le plus souvent le fait d'un acteur isolé. Il n'est effectivement pas faux de dire que l'interopérabilité amène à une forme d'unicité : le processus par lequel plusieurs systèmes deviennent interopérables se fonde bel et bien sur l'unicité d'une norme à respecter mais pas sur l'unicité des produits qui respectent cette norme, bien au contraire ! La norme peut au contraire favoriser l'apparition de produits concurrents, à la seule condition de porter sur le comportement extérieur, la fonctionnalité ou les interfaces du système ou de l'objet sur lequel elle porte, et non sur sa conception interne.
Il est complètement faux de dire que l'interopérabilité impose un modèle unique de développement des systèmes. Deux systèmes peuvent parfaitement inter-opérer sans pour autant être conçus de la même manière. L'interopérabilité ne concerne que le comportement externe de chaque système, et non ses mécanismes internes. De plus, respecter une norme ne signifie pas ne pas avoir le droit d'en respecter d'autres ou de créer un réseau plus large de systèmes interopérables. Cette décision relève du constructeur ou du prestataire de service. Cela ne signifie pas non plus fermer la porte aux innovations : de simples ajouts peuvent rejoindre une norme existante, et les innovations de plus grande échelle peuvent susciter la mise en place d'une nouvelle norme, qui peut stimuler l'adoption de l'innovation et de ses applications.
Ce problème de l'unicité concerne certains domaines et pas d'autres et pose en fait surt


Éléments de définition[modifier | modifier le code]

Vue générale de l'interopérabilité[modifier | modifier le code]
Pour définir plus exactement ce qu'est et n'est pas l'interopérabilité, on peut commencer par la distinguer de la compatibilité. Cette dernière relation est binaire et concerne un ensemble fini de systèmes. A et B sont compatibles, ou pas, si leurs constructions respectives leur permettent, ou pas, de communiquer et travailler ensemble.
A et B seront dit interopérables si, grâce à une ou plusieurs norme(s) externe(s) qu'ils respectent, ils en viennent entre autres à pouvoir être compatibles. L'interopérabilité est générale et ne concerne pas a priori des éléments ou systèmes particuliers. Elle existe au travers de normes et formats respectés par tout élément ou système qui souhaite intégrer un plexus interopérable — le réseau des éléments qui communiquent entre eux de façon fluide et normée. On voit que l'interopérabilité ne doit rien au hasard, et résulte d'un accord explicite entre les différents constructeurs d'éléments.
Interopérabilité et uniformité sont souvent mises en relation. Une critique courante est de dire que la course à l'interopérabilité entraîne avec elle un appauvrissement du développement des techniques, en freinant les innovations — qui sont le plus souvent le fait d'un acteur isolé. Il n'est effectivement pas faux de dire que l'interopérabilité amène à une forme d'unicité : le processus par lequel plusieurs systèmes deviennent interopérables se fonde bel et bien sur l'unicité d'une norme à respecter mais pas sur l'unicité des produits qui respectent cette norme, bien au contraire ! La norme peut au contraire favoriser l'apparition de produits concurrents, à la seule condition de porter sur le comportement extérieur, la fonctionnalité ou les interfaces du système ou de l'objet sur lequel elle porte, et non sur sa conception interne.
Il est complètement faux de dire que l'interopérabilité impose un modèle unique de développement des systèmes. Deux systèmes peuvent parfaitement inter-opérer sans pour autant être conçus de la même manière. L'interopérabilité ne concerne que le comportement externe de chaque système, et non ses mécanismes internes. De plus, respecter une norme ne signifie pas ne pas avoir le droit d'en respecter d'autres ou de créer un réseau plus large de systèmes interopérables. Cette décision relève du constructeur ou du prestataire de service. Cela ne signifie pas non plus fermer la porte aux innovations : de simples ajouts peuvent rejoindre une norme existante, et les innovations de plus grande échelle peuvent susciter la mise en place d'une nouvelle norme, qui peut stimuler l'adoption de l'innovation et de ses applications.
Ce problème de l'unicité concerne certains domaines et pas d'autres et pose en fait surt

ral. Les différents systèmes, appareils et éléments divers utilisés doivent pouvoir interagir sans heurts.
Compte tenu du fait que ces éléments sont produits par des constructeurs divers, avec des méthodes variées, et qu'ils répondent à des besoins spécifiques, l'idée la plus simple consiste à définir une base explicite, une norme ou un ensemble de normes, que chaque élément va « implanter » dans son propre fonctionnement.
Cette norme joue un double rôle : elle est d'abord un indicateur de la façon dont le dialogue entre les différents éléments doit s'opérer — et cristallise donc les besoins de ce dialogue ; elle est ensuite une passerelle de communication, qui va pouvoir éventuellement s'adapter aux besoins changeants des éléments. La norme est alors la base de conception des interfaces.
Un exemple de systèmes interopérables est le téléphone. Toutes les interfaces sont des normes gérées par l'UIT-T. On peut ainsi téléphoner sans se soucier de la marque de téléphone de son correspondant ni des matériels utilisés par les différents opérateurs.
Le monde anglo-saxon voit l'interopérabilité sous l'angle de l'informatique et des télécommunications, et comme un moyen de puissance et de domination du marché. L'interopérabilité industrielle est traitée par les anglo-saxons par l'intermédiaire de l'ingénierie des systèmes, qui est une discipline universitaire.
Sommaire  [masquer]
1 Éléments de définition
1.1 Vue générale de l'interopérabilité
1.2 Des enjeux cruciaux
2 Interopérabilité en informatique
3 Interopérabilité des réseaux physiques
3.1 Interopérabilité ferroviaire
3.2 Interopérabilité routière
3.3 Interopérabilité des réseaux de vélopartage
3.4 Interopérabilité électrique
4 Interopérabilité comme instrument de puissance et de domination du marché
4.1 Limiter l'interopérabilité
4.2 Encourager l'interopérabilité
5 L'interopérabilité et la loi
6 Normalisation
6.1 Les Normes
6.2 Les organismes majeurs publiant des normes
7 Bibliographie
8 Voir aussi
8.1 Articles connexes
9 Liens externes
10 Références

ral. Les différents systèmes, appareils et éléments divers utilisés doivent pouvoir interagir sans heurts.
Compte tenu du fait que ces éléments sont produits par des constructeurs divers, avec des méthodes variées, et qu'ils répondent à des besoins spécifiques, l'idée la plus simple consiste à définir une base explicite, une norme ou un ensemble de normes, que chaque élément va « implanter » dans son propre fonctionnement.
Cette norme joue un double rôle : elle est d'abord un indicateur de la façon dont le dialogue entre les différents éléments doit s'opérer — et cristallise donc les besoins de ce dialogue ; elle est ensuite une passerelle de communication, qui va pouvoir éventuellement s'adapter aux besoins changeants des éléments. La norme est alors la base de conception des interfaces.
Un exemple de systèmes interopérables est le téléphone. Toutes les interfaces sont des normes gérées par l'UIT-T. On peut ainsi téléphoner sans se soucier de la marque de téléphone de son correspondant ni des matériels utilisés par les différents opérateurs.
Le monde anglo-saxon voit l'interopérabilité sous l'angle de l'informatique et des télécommunications, et comme un moyen de puissance et de domination du marché. L'interopérabilité industrielle est traitée par les anglo-saxons par l'intermédiaire de l'ingénierie des systèmes, qui est une discipline universitaire.
Sommaire  [masquer]
1 Éléments de définition
1.1 Vue générale de l'interopérabilité
1.2 Des enjeux cruciaux
2 Interopérabilité en informatique
3 Interopérabilité des réseaux physiques
3.1 Interopérabilité ferroviaire
3.2 Interopérabilité routière
3.3 Interopérabilité des réseaux de vélopartage
3.4 Interopérabilité électrique
4 Interopérabilité comme instrument de puissance et de domination du marché
4.1 Limiter l'interopérabilité
4.2 Encourager l'interopérabilité
5 L'interopérabilité et la loi
6 Normalisation
6.1 Les Normes
6.2 Les organismes majeurs publiant des normes
7 Bibliographie
8 Voir aussi
8.1 Articles connexes
9 Liens externes
10 Références


En 1897, Batley a battu Saint Helens devant une petite foule à Headingley, ensuite l’événement s’est développé pour être non seulement un événement de la Rugby League, mais un des plus grands événements sportifs en Grande-Bretagne.
À partir 1927, la finale, habituellement jouée dans le nord de l'Angleterre, se jouera à Londres, au stade olympique de Wembley. La Cup n’a seulement pas été jouée que durant la Première Guerre mondiale et en 1940. Cette compétition s’est élargie récemment en accueillant des équipes venues de France, d'Écosse, du Pays de Galles, d'Irlande et de Russie. La meilleure performance d'un club français a été réalisée par les Dragons Catalans qui, en 2007, ont atteint la finale.
Fonctionnement[modifier | modifier le code]

8 tours :
Tour préliminaire, premier tour et second tour : équipes amatrices de toutes les Îles britanniques (British Amateur Rugby League Association, Army, Navy et RAF)
Troisième tour : deux équipes russes, quatre françaises et les équipes semi-pro de National Leagues
Quatrième tour : entrée des douze équipes de Super League
Cinquième tour : 16 équipes restantes
Quarts de finale : 8 équipes restantes
Demi-finales : sur terrain neutreInteropérabilité

Cet article ne cite pas suffisamment ses sources (novembre 2009).
Si vous disposez d'ouvrages ou d'articles de référence ou si vous connaissez des sites web de qualité traitant du thème abordé ici, merci de compléter l'article en donnant les références utiles à sa vérifiabilité et en les liant à la section « Notes et références ». (Modifier l'article)
L'interopérabilité est la capacité que possède un produit ou un système, dont les interfaces sont intégralement connues, à fonctionner avec d'autres produits ou systèmes existants ou futurs et ce sans restriction d'accès ou de mise en œuvre.
Il convient de distinguer « interopérabilité » et « compatibilité ». Pour être simple, on peut dire que la compatibilité est une notion verticale qui fait qu'un outil peut fonctionner dans un environnement donné en respectant toutes les caractéristiques et l'interopérabilité est une notion transversale qui permet à divers outils de pouvoir communiquer - quand on sait pourquoi, et comment, ils peuvent fonctionner ensemble.
Autrement dit, on ne peut parler d'interopérabilité d'un produit ou d'un système que si on connaît intégralement toutes ses interfaces.
L'interopérabilité est considérée comme très importante voire critique dans de nombreux domaines, dont l'informatique, le médical au sens large, les activités ferroviaires1, l'électrotechnique, l'aérospatiale, le domaine militaire et l'industrie en géné


En 1897, Batley a battu Saint Helens devant une petite foule à Headingley, ensuite l’événement s’est développé pour être non seulement un événement de la Rugby League, mais un des plus grands événements sportifs en Grande-Bretagne.
À partir 1927, la finale, habituellement jouée dans le nord de l'Angleterre, se jouera à Londres, au stade olympique de Wembley. La Cup n’a seulement pas été jouée que durant la Première Guerre mondiale et en 1940. Cette compétition s’est élargie récemment en accueillant des équipes venues de France, d'Écosse, du Pays de Galles, d'Irlande et de Russie. La meilleure performance d'un club français a été réalisée par les Dragons Catalans qui, en 2007, ont atteint la finale.
Fonctionnement[modifier | modifier le code]

8 tours :
Tour préliminaire, premier tour et second tour : équipes amatrices de toutes les Îles britanniques (British Amateur Rugby League Association, Army, Navy et RAF)
Troisième tour : deux équipes russes, quatre françaises et les équipes semi-pro de National Leagues
Quatrième tour : entrée des douze équipes de Super League
Cinquième tour : 16 équipes restantes
Quarts de finale : 8 équipes restantes
Demi-finales : sur terrain neutreInteropérabilité

Cet article ne cite pas suffisamment ses sources (novembre 2009).
Si vous disposez d'ouvrages ou d'articles de référence ou si vous connaissez des sites web de qualité traitant du thème abordé ici, merci de compléter l'article en donnant les références utiles à sa vérifiabilité et en les liant à la section « Notes et références ». (Modifier l'article)
L'interopérabilité est la capacité que possède un produit ou un système, dont les interfaces sont intégralement connues, à fonctionner avec d'autres produits ou systèmes existants ou futurs et ce sans restriction d'accès ou de mise en œuvre.
Il convient de distinguer « interopérabilité » et « compatibilité ». Pour être simple, on peut dire que la compatibilité est une notion verticale qui fait qu'un outil peut fonctionner dans un environnement donné en respectant toutes les caractéristiques et l'interopérabilité est une notion transversale qui permet à divers outils de pouvoir communiquer - quand on sait pourquoi, et comment, ils peuvent fonctionner ensemble.
Autrement dit, on ne peut parler d'interopérabilité d'un produit ou d'un système que si on connaît intégralement toutes ses interfaces.
L'interopérabilité est considérée comme très importante voire critique dans de nombreux domaines, dont l'informatique, le médical au sens large, les activités ferroviaires1, l'électrotechnique, l'aérospatiale, le domaine militaire et l'industrie en géné